Le Tao ou l’espace entre deux représentations ou encore le Tao ou ce qui est de l’ordre de l’inter-dit (littéralement ce qui est entre deux dits ou deux représentations).
Cela revient à se situer au centre, les bouddhistes parleraient plutôt de vacuité.
En tout cas il s’agit d’être au centre de soi-même (Self), donc d’être !
Et là, au centre de soi, en ce point de jaillissement spontané de l’idée, être en coïncidence avec le Centre.
C’est là, que l’on comprend le sens du Tao et de sa Vertu, ou ce qui serait de l’ordre de l’acte ou de la puissance.
En disant cela on comprend le Tao dans ses dimensions tant du registre du macrocosme que de celui du microcosme ; Transcendance et Immanence, intimité du réel et intimité de l’être.
—
Écrits en rapport :
– De la suite ininterrompue des idées endogènes.
– Phénoménologie de la notion de Paradis.
– De cette bonne vieille métaphysique !
– Sens et champ de l’expérience humaine.
– Budo, « guerre sainte » et psychosomatique.