Et ce point nodal, central, capital, où l’homme, par la Loi, est capable de faire coïncider le symbole (ou le rite) à la symbolique est justement le point de génitalisation au sens freudien du terme.

Là, toutes les énergies libidinales s’organisent, se structurent, s’intriquent, s’intègrent pour se mettre au service de la « création ».

Toutes ces énergies unifiées se concentrent et déterminent la « réalisation » de l’Objet du Désir.

Arrivé à ce point l’homme accède au désir symbolique (Désir), à la fécondation symbolique (Fécondation), il est, il pense ! 

Oui, sans cesse et à jamais il assure la transformation du réel en Réalité, ce que certains nomment « pouvoir fécondant ».

Là est la sublime Porte !

Et ce point d’une importance fondamentale est là.

Ce point qui fait que, justement, la représentation n1 devient représentation n2, quintessence de la quintessence, simplicité absolue, car là, dans l’inéluctable progression en la Loi, de bonne réponse interne en bonne réponse interne, dans cette suite, se fait jour progressivement la Réalité en même temps qu’apparaît ce lieu fameux où tout se résout.

Et ce Point s’écrit justement avec un P comme le P du Principe de réalité, comme le P de Phénoménologie.

Et tout s’unifie, tout devient intelligible, lorsque l’homme est capable d’accéder à ce Point même de l’extrême simplicité.

La réalité du monde, la réalité du réel ne se « contemplent » que lorsque l’homme accède à son être. Car seul l’être ouvre toutes les perspectives.

L’être ouvre les portes, le non-être les ferme !

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Écrits en rapport :

– Gestation et re-création du monde ou Totalité ».

– De Chaos à Esprit.

– Flux Père/Mère, ou parents combinés, monothéisme et Tétragrammaton.

– La question du Désir.

– Le phallus comme pivot de la sexualité humaine.

– Parménide et la question de l’être.

– De « l’étant philosophe » ou de « l’être ».