D’une manière générale le langage est défini comme à la fois représentant :
– La faculté qu’ont les hommes de communiquer entre eux et d’exprimer leur pensée au moyen de signes vocaux qui peuvent être éventuellement transcrits.
– Le contenu même de la communication.
– D’autres moyens de transmission de l’information comme ceux rencontrés chez certains animaux.
– La manière de s’exprimer au moyen de signes ou de symboles.
La langue, quant à elle, est définie comme un système de signes verbaux, propres à une communauté ou à un groupe social. Cela correspond à ce que l’on nomme une communauté linguistique.
Le terme langage recouvre donc deux notions bien distinctes :
– Ce qui est de l’ordre de la communication au moyen de la langue, activité purement humaine, et qui est l’objet d’étude de la linguistique.
– Ce qui est de l’ordre des transmissions d’informations non verbales et que l’on peut appeler communications non linguistiques.
Ces communications non linguistiques peuvent être le propre de l’homme comme par exemple les activités de signalisation, de symbolisation, de gestuelles, de mimiques, de postures et donc toutes activités de communication dites communications analogiques.
Mais elles peuvent être animales comme les systèmes de passation de l’information ayant pour fonctions essentielles la survie de l’espèce ou du moins du groupe ou les régulations d’ordre physiologique ou sociale.
La fonction essentielle du langage étant la communication il va de soi que ce dernier intéresse au plus au point le champ de la clinique psychologique qui va devoir intégrer les théories de la communication afin de les utiliser en thérapie.
Que la communication soit d’ordre linguistique ou non, on retrouve à la base de tout transfert d’information la notion de signe.
Qu’il soit verbal ou phonique, dans le cas de la langue, sonore ou gestuel ou autre dans le cas des communications non verbales, le signe est partout présent.
Ce qui spécifie le langage est donc la présence du signe.
La science générale des signes étant la sémiologie, il apparaît que langage et sémiologie sont indissociables. On ne peut étudier l’un sans prendre en compte l’autre.
Le langage est donc pour le psychologue, du fait de son articulation constante avec la sémiologie, le moyen d’investigation par excellence de la Psyché.
D’ailleurs la psycholinguistique est là pour nous rappeler qu’il existe un champ d’étude des comportements du langage dans le domaine général des grands syndromes psychopathologiques.
Le propre de la démarche sémiologique est d’associer à un signe ou à un ensemble de signes un élément d’ordre psychopathologique.
Ainsi nous passons subrepticement du signe au symptôme. Et ce qui intéresse le psychologue c’est le symptôme en tant que phénomène de langage, le symptôme en tant qu’intentionnalité à décrypter.
Et pour compléter les fonctions du langage et ses connexions avec le champ de la psychologie nous évoquerons également les aspects suivants :
– Le langage comme faculté d’expression témoignant de la possibilité pour l’être humain de dire ses émotions et ses besoins.
– Le langage comme fonction de cognition attestant de la possibilité offerte au sujet d’apprendre et de connaître.
– Enfin le langage comme facteur d’action représente sa capacité à modifier autrui puisque le mot peut influencer, calmer ou exciter l’autre.
En ce qui concerne l’expressivité, nous reconnaissons là la possibilité qu’a le sujet parlant de se libérer, par exemple, d’affects attachés aux souvenirs d’événements traumatisants.
Cette libération émotionnelle peut être qualifiée de thérapeutique.
En ce qui concerne le langage comme fonction de cognition ou de pensée, il est d’évidence que développement cognitif et développement du langage sont indissociables, à tel point qu’il semble vain de chercher à objectiver les aspects spécifiques à chacun d’eux.
Le langage représente un système d’expression symbolique aussi riche que fondamental et, quoiqu’il en soit des intrications profondes entre pensée et langue, ce qui intéresse le plus particulièrement le champ de la psychologie, c’est le phénomène de la compréhension ou plus exactement le processus d’élaboration intellectuelle permettant cette compréhension.
Et nous savons que pour Freud : « compréhension et guérison coïncident pratiquement » ou encore « un chemin praticable va de l’un à l’autre »7.
Enfin le langage comme mode d’action rend compte en thérapie de l’impact, bénéfique pour le patient, de la parole du thérapeute.
Nous avons évoqué plus haut le langage en tant que système d’expression symbolique, il peut être dès lors nécessaire de définir le symbole.
Pour le Larousse, le symbole est la représentation imagée, figurée, concrète, d’une notion abstraite.
Pour le Robert, il est signe de reconnaissance, il est « ce qui représente autre chose en vertu d’une correspondance analogique ou encore un fait naturel de caractère imagé qui évoque une association d’idées naturelles dans un groupe social donné ».
Pour Piaget, il y a symbolisation dès que le sujet est capable de représenter quelque chose par autre chose.
Pour Freud, « l’essence du symbolisme consiste en un rapport constant entre un élément manifeste et sa ou ses traductions ».
Le symbolisme est conçu comme « un mode de représentation indirect et figuré d’une idée, d’un conflit, d’un désir inconscient ; en ce sens, on peut en psychanalyse tenir pour symbolique toute formation substitutive »6.
Freud situe la naissance des fonctions symboliques au moment où l’enfant devient capable de simuler par le jeu l’absence ou la présence maternelle. Il formulera cette hypothèse à partir de l’observation d’un enfant de 18 mois qui, lançant au loin un objet disait « fort » (parti) et qui, le ramenant vers lui au moyen d’une ficelle, disait « da » (voilà).
Ainsi l’enfant, tout en maîtrisant le vécu d’abandon lié à l’absence de la mère, « inventait le symbole en naissant au langage ».
Ainsi le mot devient un signifiant dont la nature n’est que d’être « symbole d’une absence »8.
Le terme employé de signifiant nous amène à envisager l’œuvre de Ferdinand de Saussure, œuvre capitale dès lors que l’on parle de langage.
Ferdinand de Saussure s’est attaché, entre autres choses, à clarifier le sens du mot langage. Selon lui le langage est constitué de deux parties :
– Une première, essentielle, est sociale et concerne la langue.
– Une autre, secondaire, est d’essence individuelle et c’est la parole.
Ce qui lui permet d’énoncer : « la langue est pour nous le langage moins la parole ».
Ainsi la langue apparaît comme une convention, comme une institution sociale, comme un système de signes distincts correspondant à des idées distinctes.
Le signe linguistique est défini comme unissant un concept et une image acoustique.
De Saussure propose de « conserver le mot signe pour désigner le total et de remplacer concept et image acoustique respectivement par signifié et signifiant »9.
De Saussure assigne au signe linguistique quatre caractéristiques qui sont :
– L’arbitraire,
– l’immutabilité,
– l’altération,
– l’aspect linéaire du signifiant.
L’arbitraire du signe.
« Le lien unissant le signifiant au signifié est arbitraire ». Par exemple « l’idée de sœur » est sans lien, en soi, avec la suite de sons « s-ö-r » qui lui correspond.
L’immutabilité du signe.
« Si par rapport à l’idée qu’il représente, le signifiant apparaît comme librement choisi, en revanche, par rapport à la communauté linguistique qui l’emploie, il n’est pas libre, il est imposé.
L’individu, et à plus forte raison la masse, « ne peut exercer sa souveraineté sur un seul mot ».
La « langue apparaît toujours comme un héritage de l’époque précédente », elle est le produit des forces sociales agissantes dans le temps. A tout instant, la solidarité avec le passé met en échec la liberté de choisir.
Le signe est arbitraire, il ne connaît qu’une seule loi, celle de la tradition.
L’altération du signe.
« Le temps, qui assure la continuité de la langue » a pour effet d’entraîner une altération du signe linguistique. Le signe s’altère justement parce qu’il se continue.
L’altération consiste le plus souvent en un déplacement du rapport entre le signifié et le signifiant.
Le caractère linéaire du signifiant.
Le signifiant étant de nature auditive se déroule dans le temps dont il emprunte les caractéristiques d’étendue mesurable, il s’assimile à une ligne.
Après avoir envisagé les dimensions séméiologiques, symboliques et linguistiques du langage, nous allons aborder les liens unissant le langage et la psychanalyse.
Nous envisagerons à cette fin deux parties :
– Inconscient et langage d’après Sigmund Freud.
– Inconscient et langage d’après Jacques Lacan.
Le langage selon Sigmund Freud.
Freud en arrive à distinguer au niveau du fonctionnement psychique des contenus conscients et des contenus inconscients.
En ce qui concerne les contenus inconscients une différence est faite entre ceux qui ne deviennent jamais conscients et ceux qui peuvent le devenir.
Les premiers sont définis comme « inconscient systématique » et les seconds comme « système préconscient ».
Freud estime que la possibilité qu’auraient ces contenus inconscients de devenir conscients serait ni plus ni moins liée à l’existence ou non d’investissements de mots.
Autrement dit les contenus strictement inconscients consisteraient uniquement en représentations de choses alors que les contenus du « système préconscient » mêleraient aux représentations de choses des représentations de mots.
Ainsi le ça, instance de la deuxième topique freudienne, « ne contient que des investissements de choses sans les représentations de mots correspondants »7. Ce qui expliquerait la « puissance des contenus refoulés du ça »7.
L’origine de ces contenus refoulés remonte au tout début de la vie, avant même que le sujet ne soit capable de « lier ses fortes impressions avec des mots »7 et de pouvoir ainsi les maîtriser.
Corrélativement à cela Freud distingue deux processus à l’œuvre dans le fonctionnement psychique :
– Les processus primaires.
– Les processus secondaires.
Les processus primaires vont caractériser le système inconscient.
Dans ce système l’énergie psychique « tend à s’écouler librement passant sans entrave d’une représentation à une autre selon les mécanismes de déplacement et de condensation »6.
Les processus secondaires, quant à eux, impliquent une énergie qui apparaît comme « liée », s’écoulant de manière « contrôlée ». Les représentations étant « investies de façon plus stable, permettant ainsi des expériences mentales »6.
La distinction entre processus primaires et processus secondaires s’appuie en outre respectivement sur les notions de principe de plaisir et principe de réalité.
Schématiquement le principe de plaisir serait de l’ordre du ça et le principe de réalité de l’ordre du surmoi.
On peut estimer que le phénomène de la conscience est en partie conditionné par le langage (au sens linguistique du terme) dont l’émergence va s’appuyer sur les processus secondaires, le principe de réalité et le surmoi.
La situation œdipienne est certainement décisive dans l’accès au langage dans la mesure où « elle n’a de sens et ne développe ses effets que dans la dimension symbolique »1.
Un autre élément est d’importance fondamentale lorsque l’on parle de langage et cet élément est le refoulement.
Le refoulement est le mécanisme psychique qui consiste pour un sujet à « repousser ou à maintenir dans l’inconscient des représentations liées à une pulsion »6.
Pour Freud le refoulement peut être considéré comme un « processus psychique universel en tant qu’il serait à l’origine de la constitution de l’inconscient »6.
Le refoulement se manifeste comme une sorte de « défaut de traduction de l’inconscient dans l’inscription consciente »5.
C’est par le biais du symptôme que l’interférence entre niveaux conscient et inconscient peut se faire jour et c’est par le travail analytique, notamment du fait de l’interprétation, qu’il est possible d’en restituer le langage.
Freud lui-même énonce que le « symptôme se résout tout entier dans une analyse du langage, qu’il est un langage dont la parole doit être délivrée ».
Ainsi « ce qui n’apparaît pas dans le discours que nous tenons à autrui se trouve exprimé ailleurs, dans le rêve, dans l’acte manqué, dans le symptôme, à notre propre insu »1.
Le langage selon Jacques Lacan.
Lacan va reprendre les élaborations freudiennes et notamment les descriptions des processus à l’œuvre dans le travail du rêve et plus particulièrement les phénomènes de condensation et de déplacement. Ces deux éléments permettant de rendre obscur au niveau du contenu manifeste, c’est-à-dire le contenu exprimé, ce qui était signifiant dans les pensées latentes.
Parallèlement à l’œuvre de Freud, Lacan va prendre en compte, entre autres, deux courants de pensée.
– Le courant linguistique structural au sens de Ferdinand de Saussure.
– Le courant structuraliste marqué particulièrement par les travaux de Claude Lévi-Strauss.
En ce qui concerne le mouvement structuraliste on peut énoncer qu’il a permis la conception d’un « ordre symbolique structurant la réalité interhumaine »6.
« Toute culture pouvant être considérée comme un ensemble de systèmes symboliques au premier rang desquels se placent le langage, les règles matrimoniales, les rapports économiques, l’art, la science, la religion »6.
La démarche de Lacan s’attachera à rapprocher la structure de l’Inconscient de celle du langage ce qui lui permettra d’affirmer que « l’Inconscient est structuré comme un langage »2.
Pour ce faire il va utiliser la notion de symbolique et montrer que le sujet humain « s’inscrit dans un ordre préétabli de nature symbolique, au sens de Lévi-Strauss »6.
Lacan va mettre particulièrement en avant la notion de nom du père, notion faisant référence au père en tant qu’il peut être nommé et reconnu dans sa fonction symbolique qui, « depuis l’orée des temps historiques, identifie sa personne à la figure de la loi ». Et c’est cela même qui en fait le support et pour ainsi dire la clé de voute de tout l’édifice symbolique1.
C’est pourquoi il est dit que la situation œdipienne est la condition nécessaire au plein accès à cette dimension symbolique, faute de quoi, la communication avec autrui risque d’être particulièrement altérée.
Cette carence à laquelle Jacques Lacan donne le nom de forclusion, est susceptible de « créer dans le champ des signifiants un trou irréparable »1.
Car la présence, l’intervention, l’interposition du père ou plus exactement du nom du père vient « castrer » le couple duel ou fusionnel de la mère et de l’enfant.
C’est bien de cela qu’il s’agit quand on évoque le concept de castration imaginaire.
Et on y voit le signe, la marque, l’emblème, le symbole de la Loi qui vient « séparer » le couple mère enfant en même temps que d’assurer l’émergence du troisième terme différentiateur4.
Le symbolique surgissant de la place du réel immédiat est contemporain du « meurtre ou de l’annulation de la chose existante »4.
L’accès au symbolique est solidaire d’un refoulement originaire constitutif de l’inconscient et donc du sujet. Et cet inconscient va prendre « corps » allant de « refoulement en refoulement, c’est-à-dire de substitution métaphorique en substitution métaphorique »4.
Ainsi la barre du sigle saussurien qui sépare le signifiant du signifié, rend compte de la « résistance » que le « psychanalyste rencontre dans le passage du signifiant au signifié, la difficulté qu’il éprouve à découvrir le signifié de ce signifiant »8.
Et « cette barre est « corrélative du refoulement freudien » qu’elle symbolise. Et ce signifié qui se dérobe, c’est le contenu de l’inconscient lui-même. »8.
On peut faire ainsi apparaître une différence de nature entre le refoulement et la forclusion, différence marquant les aspects linguistiques de la démarcation entre névrose et psychose.
Le refoulement, d’essence névrotique, représente la mise entre parenthèses, l’occultation d’une expérience. Ces signifiants apparemment disparus peuvent être retrouvés dans le cours du travail analytique et réintégrés dans le champ du sujet.
La forclusion, au contraire, ne conserve rien de ce qu’elle rejette, elle le barre et le met hors de portée des chaînes associatives.
Ainsi la forclusion, à l’origine du phénomène psychotique, consiste en un rejet primordial de signifiants fondamentaux, hors de l’univers symbolique du sujet.
Les signifiants forclos, donc non intégrés à l’inconscient, font retour non pas de l’intérieur du sujet mais du réel ou de l’environnement et notamment par le biais du phénomène hallucinatoire.
En guise de conclusion à cette étude, on a pu montrer que le langage représente un système symbolique fondamental en tant que procès d’interposition entre la mère et l’enfant.
Il joue un rôle essentiel dans le mouvement qui va de l’Inconscient au Conscient par la médiation du Préconscient et ce mouvement est concomitant d’un autre phénomène qui réside dans la transcription des représentations de choses en représentations de mots.
Ce système symbolique d’interposition va culminer avec la constitution progressive de la figure paternelle qui va représenter petit à petit le modèle, le pattern, du tiers ou de la triangulation.
Et c’est l’acquisition vraie de cette triangulation qui va permettre les processus cognitifs les plus aboutis au niveau de la vie psychique. La vraie intégration des contenus psychiques est à ce prix comme nous l’a montré de façon très explicite Bion avec la capacité ou la non capacité pour le sujet de mettre en place la fonction alpha et donc cette fameuse intégration psychique des contenus.
C’est là, à ce niveau, que va résider la possibilité vraie pour le sujet pensant d’avoir accès à l’intégralité des chaînes associatives permettant réellement un Moi unifié.
Ce Moi unifié atteste absolument que des parties le constituant normalement n’ont pas été rejetées de la vie psychique pour s’émanciper et alimenter des noyaux autonomes masqués prenant l’apparence de contenus du réel.
Le Moi unifié ne permet plus la réification des parties du Moi !
Et lorsque les contenus du Moi, s’émancipent par manque d’unification, par défaut de génitalisation (au sens freudien du terme), par absence de Tiers, on peut dire que les fonctions de penser sont réellement altérées et avec elles la fonction même du langage.
C’est alors que le langage comme nous le dit Racamier a « perdu sa fonction de communication, le mot s’est vidé de sa signification pour devenir matière phonétique, objet de maniement, adoré en soi, idolâtré ».
—
Bibliographie
1. Brabant Georges Philippe
Clefs pour la psychanalyse
Seghers
2. Dor Joël
Introduction à la lecture de Lacan
1. L’inconscient structuré comme un langage
Denoël
3. Hesnard Angelo
de Freud à Lacan
ESF
4. Hottois Gilbert
La hantise contemporaine du langage
Essai sur la situation philosophique du discours lacanien
Confrontations psychiatriques n° 19-1981
5. Lang Hermann.
Refoulement et schize (spaltung)
Aspects linguistiques de la démarcation entre névrose et psychose
Confrontations psychiatriques n° 19-1981
6. Laplanche Jean – Pontalis Jean Bernard
Vocabulaire de la psychanalyse
7. Martin Gauger H.
Le langage chez Freud
8. Mounin Gorges
Sémiologie médicale et sémiologie linguistique
Confrontations psychiatriques n° 19-1981
9. Ferdinand de Saussure
« Cours de linguistique générale »
Payot
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