Ou de la position bénie de la Loi et de ce qui en découle en termes de vie psychique (Vie), de Joie, de Désir et de Don…
Et ce qui parachève cette ligne signifiante est tout entier contenu dans le vocable Fécondation inextinguible qui correspond tout à la fois à la dimension Imaginaire de l’éros ou du plaisir sexuel impliquant la reproduction et la dimension symbolique correspondant à la célèbre phrase d’Aristote ; « c’est l’homme qui fait l’homme ».
On est là dans le registre des rites de passage antiques et encore plus précisément à ce moment crucial, fondamental, où le symbole se doit de coïncider à la Symbolique.
Et ce point de coïncidence se faisait sous les auspices, non de l’éros, certes, mais de la philia.
Et la constance de la symbolique rituélique était de toujours, hors perversion, mettre en scène le pouvoir fécondant de l’homme sur ces deux plans fondamentaux que sont l’Imaginaire et le Symbolique.
Mais par-delà cette question cruciale de la formation, de la structuration, du sujet en devenir, la Fécondation dont il est question concernait plus que tout le problème de la Connaissance.
La fécondation du réel en Réalité (Fécondation) représentait effectivement le but même de l’orientation.
—
Écrits en rapport :
– De la transmission du savoir et du pouvoir dans l’antiquité gréco-romaine.
Comments: no replies