L’homme qui a atteint à l’extrême simplicité ne constitue pas d’idoles car il les consume par le feu de son ardeur à se maintenir en la fonction symbolique.
Ayant vaincu l’idole, l’attachement, le « monde » et la mort, il vit pleinement l’instant, inondé de joie et d’amour.
Et cette ivresse l’empêche de répondre à certaines questions :
– Quel meilleur bien le monde peut-il offrir ?
Sidéré, il est pris de fou rire.
– Quel devenir ?
Le fou rire devient incoercible.
– Qu’en faire ?
Entre deux spasmes il ouvre sa main !
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Écrits en rapport :
– De l’extrême simplicité du chemin.
– De la légitimité en matière d’enseignement.
– A propos du point de « passage ».