site logo
  • Accueil
  • Ecrits récents
  • Glossaire
  • Tous les écrits
2 décembre 2020  |  By Bernard Caylus In Ecrits récents

De l’indicible joie.

L’homme qui a atteint à l’extrême simplicité ne constitue pas d’idoles car il les consume par le feu de son ardeur à se maintenir en la fonction symbolique.

Ayant vaincu l’idole, l’attachement, le « monde » et la mort, il vit pleinement l’instant, inondé de joie et d’amour.

Et cette ivresse l’empêche de répondre à certaines questions :

– Quel meilleur bien le monde peut-il offrir ?

Sidéré, il est pris de fou rire.

– Quel devenir ?

Le fou rire devient incoercible.

– Qu’en faire ?

Entre deux spasmes il ouvre sa main !

—

Écrits en rapport :

– De l’extrême simplicité du chemin.

– De la légitimité en matière d’enseignement.

– A propos du point de « passage ».

– De quelques significations de mourir.

– Phénoménologie de la parole perdue.

Previous StoryDu dilemme des Poissons
Next StoryPhénoménologie de la notion de sacrifice

Articles récents

  • Le dieu grec Poséidon ou l’époux de l’idée
  • A propos du Soi originel
  • Du père en tant que tiers
  • De la question de l’alliance
  • A propos du Samkhya Indien le système métaphysique « athée » par excellence
  • De la phénoménologie
  • L’extériorité selon George Berkeley
  • De la relation d’inconnu
  • Persée ou la capacité vraie à penser (version courte).
  • A propos du monothéisme

Catégories

  • Ecrits récents
  • Glossaire
  • Non classé
  • Plan général
Copyright ©2017 ThemeFuse. All Rights Reserved